Quand on se rend compte que tout n’est plus aussi beau dans la vie de couple, la rupture devient une solution à envisager. En matière de divorce, celui qui se fait avec un consentement mutuel est le plus apprécié par beaucoup. Qu’est-ce qu’un divorce à l’amiable ? Qu’en est-il des enfants du couple ? Les quelques paragraphes qui suivent tentent de répondre à ces questions.
Le divorce à l’amiable sans juge ou divorce par consentement mutuel a été possible depuis le début de l’année 2017. Dans ce mode de séparation, le couple est tout à fait d’accord sur la dissolution du mariage et sur ses effets. Les conjoints ont trouvé une alternative commune sur la question de la garde des enfants, de la pension alimentaire et du partage des biens. L’intervention d’un juge peut être inutile. Les démarches se font dans le respect total de l’intimité des époux. Comparé aux autres types de ruptures, le divorce à l’amiable prend peu de temps. Il n’est pas étonnant si la plupart se tournent vers lui. À noter que cette démarche est possible même après la célébration du mariage des mariés.
Bien évidemment, chacune des deux parties doit encore faire appel à un professionnel spécialisé en matière de droit de la famille et du divorce. Des rencontres à quatre peuvent alors souvent avoir lieu dans le but de discuter de l’acte. Les conjoints doivent payer respectivement les honoraires de leur avocat. Solliciter les services d’un expert comme divorcepascher.ch garantit le bon déroulement de toutes les étapes de cette procédure. Les professionnels de ce genre accompagnent leur client du début jusqu’à la fin de la convention. Leur aide est précieuse dans ce sens où ils maîtrisent ce domaine à la perfection.
Dans une procédure de divorce à l’amiable, il existe plusieurs modes de garde des enfants. Le premier est la garde en résidence alternée. Comme son nom l’indique, le tout-petit peut alternativement loger chez chacun de ses parents, et cela au rythme choisi par les deux parties. Certains optent pour une période mensuelle, tandis que d’autres préfèrent la fréquence bihebdomadaire. Cette décision est prise dépendamment de l’âge du bambin. Ce dernier peut également résider uniquement au domicile de sa mère ou de son père. Dans ce cas-là, un droit de visite est convenu. Certains jours de la semaine peuvent être dédiés à cet effet. Ce mode classique est choisi par la grande majorité des couples. Très souvent, c’est la mère qui a la garde. Cela ne veut pas dire que le père ne conserve plus son autorité parentale. Mais, quelle que soit la solution adoptée, il faut toujours veiller sur les intérêts des petits.
En général, un formulaire de discernement doit être signé par l’enfant mineur des conjoints. Mais dans le cas où celui-ci n’est pas encore dans la capacité de discerner dû à son jeune âge, ce dossier n’est pas nécessaire. C’est à partir de 12 ans que ce formulaire doit vraiment être pris en compte.